What am I doing?
I’m drawing life as a mass interconnectedness that surpasses our conscious understanding. Foreground background mingled. Corpuscles, DNA, chains, connections, knots, nebulae, oozing, growing, alluding to infinite in being time and form.
My art plays on the microscopic and macroscopic relationship: cells to a body, stars to a universe, sand to a beach, human relationships to a civilization. Big picture and minute details as one and how they transform over time. The work is the repetition of objects and actions communicated in marks symbolizing the quotidian and the act of being.It has previously found form in string, wax, wire, cloth, wood, branches, hair, paint, ink…
Further I question the relationship of boundaries and “opposites”. How different, if at all, are abstract/realistic, micro/macro, infinitesimal/infinite, past/future, life/death, drawing/painting/sculpture? I am drawing on the tension that exists in our inability to make concrete that which is unknown.
Qu’est ce que je fais ?
Je dessine la vie en tant qu’interconnectivité massive qui dépasse notre entendement consciente. Mélanger l’avant et l’arrière. Corpuscules, ADN, chaînes, connections, nœuds, nébuleuses, s’écouler, pousser, faire référence à l’infinie en temps et en formes.
Mon art joue sur la relation micro- et macroscopique : de la cellule au corps, des étoiles à l’univers, du sable à la plage, des relations humaines à une civilisation. L’image globale et les détails minutieux ne formant qu’un, tout en se transformant avec le temps. L’œuvre est la répétition d’objets et d’actions communiquée à travers des marquages symbolisant le quotidien et le fait d’être. Elle a précédemment trouvé forme dans de la ficelle, de la cire, du fil de fer, du bois, des branches, des cheveux, de la peinture, de l’encre…
Au-delà je questionne la relation entre les frontières et les « opposées ». Qu’en est-il, si toutefois elle existe, de la différence entre abstrait/réaliste ; micro/macro ; infinitésimal/infini ; passé/futur ; vie/mort ; dessin/peinture/sculpture ? Je puise dans la tension qui existe dans notre incapacité à rendre concret ce qui est inconnu.